Tatouages & bande dessinée

• L’ "Adolescent huastèque", figure masculine debout avec personnage porté dans le dos. (1000-1521 apr. J.-C.) Il est représenté nu avec une bonne partie du corps couverte de symboles tatoués. © D.R. Secretaría de Cultura-INAH / Archivo Digital de las Colecciones del Museo Nacional de Antropología-INAH-CANON Reproduction autorisée par Instituto Nacional de Antropología e Historia, México
• Détails des tatouages de l’ « Adolescent huastèque ». Les cercles concentriques représentent le jade, soit ce qui est précieux. L’épi de maïs, symbole de fécondité semble indiquer que c’est le dieu du maïs. © D.R. Secretaría de Cultura-INAH / Archivo Digital de las Colecciones del Museo Nacional de Antropología-INAH-CANON Reproduction autorisée par Instituto Nacional de Antropología e Historia, México
• Figurine féminine avec coiffe en éventail. 1200 – 1521 apr. J.C. Les tatouages qui ornent le haut du corps sont un élément exceptionnel de cette œuvre. © Catálogo Digital Museo de Antropología de Xalapa. Universidad Veracruzana, D.R. Secretaría de Cultura-INAH. Reproduction autorisée par Instituto Nacional de Antropología e Historia, México
• Autre exemple de tatouages sur ce personnage, le "Seigneur de Las Limas" (900-400 av. J.C.). Tatouages, scarifications, peintures corporelles les trois ? Aucune affirmation n’est réellement possible. © Catálogo Digital Museo de Antropología de Xalapa. Universidad Veracruzana, D.R. Secretaría de Cultura-INAH. Reproduction autorisée par Instituto Nacional de Antropología e Historia, México
• La "Femme scarifiée" vers 200 apr. J.C. Les protubérances sur les épaules et l’avant de ses cuisses sont probablement dues à des scarifications. © D.R. Secretaría de Cultura-INAH / Archivo Digital de las Colecciones del Museo Nacional de Antropología-INAH-CANON / Colección Zona Arqueológica de Tamtoc. Reproduction autorisée par Instituto Nacional de Antropología e Historia, México
• Le tatouage au Mexique aujourd’hui. Si les premiers tatoueurs mexicains étaient très influencés par leurs homologues des États-Unis, très vite la culture mexicaine va prendre une place centrale dans l’art du tatouage. © Pedro Alvarez
• Chuey Quintanar s’est formé auprès de Jack Rudy dans son célèbre salon le "Goodtime Charlie’s Tattoo land" à Anaheim aux États-Unis. L’iconographie religieuse est très présente dans son œuvre. Ici, la Vierge de Guadalupe. © Chuey Quintanar
• Né à Mexico City sur les ruines de Tenochitlan, la grande capitale aztèque, Pedro Alvarez passe sa jeunesse au milieu des fouilles archéologiques et des artefacts préhispaniques. Les anciens dieux aztèques sont notamment au centre de son œuvre. © Pedro Alvarez
• Nous retrouvons ici l'un de ses Quetzacoatl tatoué. © Pedro Alvarez
• Le clown (Payaso & Payasa) est un thème très repandu dans les gangs et chez les détenus. Il représente l’idée qu’on ne doit jamais montrer le moindre signe de faiblesse et qu’il faut au contraire apparaître fort et heureux face à l’adversit © Boog Brown
• Sol Chicoacen Acatzin est un tatoueur mexicain s'inspirant de la mythologie et des divinités pré-colombiennes. © D.R.
• Sol est venu à la médiathèque du musée pour consulter nos fac-similés des codex mexicains, notamment le Códice Borbónico [Codex Borbonicus ]. © musée du quai Branly - Jacques Chirac
• Les figures des Codex se prêtent particulièrement bien à l’art du tatouage. © D.R.
• Jerónimo López Ramírez plus connu sous le nom de Dr. Lakra, est un artiste mexicain né en 1972. Il a étudié l’art du tatouage auprès du célèbre Ed Hardy.Ses collages sont un subtil mélange d’iconographie pop et motifs mayas ou olmèques. © D.R.
• Un article lui est consacré dans le numéro 154 de la très sérieuse "Arqueología mexicana", disponible à la médiathèque du musée à la cote P5462. © D.R.
• Dessin du Dr Lakra où coexistent art préhispanique et culture des gangs. © D.R.
• [La bande dessinée au Mexique aujourd’hui] Tout comme les hiéroglyphes égyptiens ou les enluminures médiévales, les codex racontent des histoire en images. Códice Borbónico [Codex Borbonicus] © D.R.
• Les premiers comics mexicains s’inspirent largement de leurs cousins américains. Très vite, la culture mexicaine sera de plus en plus mise en valeur. "El Sargento Preston" et "Susy, secretos del corazon" sont disponibles au salon de lecture J. Kerchac © D.R.
• On trouve des héros comme Supermaya dès les années 1970. "Supermaya" est disponible au salon de lecture Jacques Kerchache.
• Le personnage du "Luchador" est également repris dans l’imagerie des comics mexicains. "El hijo de Santo" est disponible au salon de lecture Jacques Kerchache. © D.R.
• La BD contemporaine traite aussi de sujets plus graves comme la politique. "Tata Rambo" raconte l’histoire vraie de Ramon Jaurigue. Vétéran de la Seconde guerre mondiale, il est aussi le co-fondateur de la M.A.Y.O. (Mexican American Yaqui Organization

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