A sign exhorting citizens to be vigilant against terrorism
Photographie
- Type d'objet : Photographie
- Photographe : Aun Raza (né en 1983) ; Réalise le tirage : Laboratoire Janvier ;
- Géographie : Asie – Asie méridionale – Pakistan – Punjab (province) – Lahore
- Date : 2018 - 2019 : date de prise de vue
- Matériaux et techniques : Tirage jet d'encre couleur sur papier Photo Rag Baryta Glossy Fine Art by Hahnemülhe, 100 % cotton white high - gloss 315 gsm.
- Dimensions et poids : Dimensions du tirage dont 4 cm de marge : 61,2 x 88,2 cmDimensions de l'image : 53,5 x 80,2 cm
- Commanditaire : Musée du quai Branly - Jacques Chirac ;
- Inscription : - au verso :En bas à droite, au crayon à papier : "1/10 [araza] 2019"
- Signature : Numéroté, signé et daté au verso, en bas à droite dans la marge de manipulation, au crayon à papier : "1/10 [signature] 2019"
- Exposé : Non
- Numéro d'inventaire : PP0249415
- Numéro de gestion : 70.2019.56.3
Description
"A sign exhorting citizens to be vigilant against terrorism". Photographie tirée de la série "For the Love of Lahore" réalisée dans le cadre des Résidences photographiques du musée du quai Branly - Jacques Chirac en 2018.La série "For the Love of Lahore" se veut la suite de sa série "Here Lies Lahore", journal intime photographique des habitants de Lahore, exposée dans le cadre de la dernière biennale photographiques Photoquai en 2015.Depuis 2010, le photographe pakistanais Aun Raza a voyagé dans de nombreuses régions du monde, à la rencontre de différentes cultures et modes de vie. A l’occasion des Résidences photographiques du musée en 2018, Aun Raza décide de revenir à Lahore, sa ville natale. Dans cette série, il fait dialoguer scènes urbaines et portraits sous forme de conversation intime. Attiré par le caractère immédiat du médium, il saisit des situations propres à représenter les contradictions d’une ville en pleine transformation. Ses portraits rendent hommages aux gardiens du patrimoine culturel vivant de la ville. Définis par l’artiste comme des antidotes face aux répercussions désastreuses engendrées par la politique urbaine actuelle, ces photographies se répondent et entrent en résonance avec subtilité et humour : « à Lahore, au milieu des destructions et du pourrissement, la beauté, la moiteur, l’intensité subsiste ; dans le visage de ces gitans campant près de la rivière Ravi, dans leur musique et leurs couleurs, à qui la ville doit une part de son héritage disparu. »